Affichage des articles dont le libellé est 972. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est 972. Afficher tous les articles

vendredi 21 juin 2013

La théorie du genre à l'école...

La théorie du genre à l'école: la ministre du droit             des femmes s'obstine
   Alors que la représentation nationale a pour l'instant décidé de ne plus intégrer l'enseignement de la théorie du genre dans le projet de loi sur l'école, la ministre du droit des femmes, Najat Vallaud-Belkacem s'obstine. Elle souhaite, dès septembre prochain et à titre expérimental, intégrer l'enseignement de cette théorie dans 500 écoles, réparties sur dix académies, par le biais du programme "l'ABCD de l'égalité".
Selon la ministre, la "théorie du genre" "n'existe pas, [seules] [...] existe[nt] [...] les 'études de genre' confiées à des chercheurs qui dissèquent comment les inégalités se forment entre les deux sexes".  C'est pour "remédier aux inégalités", que la ministre veut "faire en sorte que nos enfants cessent de les intérioriser dès le plus jeune âge". Comme sur la défensive, elle se justifie : "il ne s'agit aucunement d'abolir les différences biologiques entre les deux sexes comme je l'entends dans la bouche de ceux qui s'accommodent parfaitement des inégalités".
Sa méthode, pour effacer ces inégalités, consiste à : "éveiller l'intérêt des petits garçons autant que des petites filles aux gestes de la vie quotidienne qu'ils effectueront ensuite comme adultes. Par exemple: apprendre à pouponner, à utiliser une dînette, etc. C'est une façon, au fond, de préparer les futurs pères au partage des tâches". La crèche Bourdarias de Saint-Ouent (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 8 mars 2013), dans laquelle "on éveille l'intérêt des filles pour les jeux de pompier ", est pour la ministre le parfait exemple à suivre. La ministre du Droit des femmes s'inspirerait-elle du modèle suédois, précurseur dans ce domaine? Elle admire le fait que "Là-bas non plus on ne force aucunement les petits garçons à jouer avec des poupées et les petites filles avec des camions comme je l'ai entendu. On n'y trouve ni poupées ni camions mais tous les animaux de la forêt sous forme de peluches, de jeux divers et variés qui développent la créativité des enfants". L'objectif, que partage Najat Vallaud-Belkacem, vise à " projeter [les enfants] dans quelque chose de plus riche et complet que la caricature de la petite fille fragile et du garçon conquérant".

Source : http://www.genethique.org/



Lire la suite >>

lundi 14 janvier 2013

Mariage pour tous... ???

"Le mariage n'est pas seulement la reconnaissance ou la célébration sociale de l'amour. « Le mariage structure fondamentalement la société dans son présent, son passé, son avenir. » (2) Il est une institution et pas seulement un contrat comme le précise Gilles Bernheim, Grand rabbin, « ce n'est pas uniquement la reconnaissance d'un amour. C'est l'institution qui articule l'alliance de l'homme et de la femme avec la succession des générations. C'est l'institution d'une famille, c'est-à-dire d'une cellule qui crée une relation de filiation directe entre ses membres." Lire l'article
 
 
 
Lire la suite >>

dimanche 22 avril 2012

L'Eucharistie est le don du Sacré Coeur


Sainte Marguerite Marie 1647-1690
"Le Cœur de mon aimable Jésus au Très Saint-Sacrement, hors duquel il n’y a ni plaisir, ni joie, ni consolation en la vie."
L'Eucharistie est le don du Sacré Coeur qui va «jusqu'au bout de l'amour» (Jn 13, 1). Jésus manifeste son Coeur aux hommes car, les voyant si pauvres en amour, il voulait les enrichir des «trésors du Coeur de Dieu, lequel il peuvent honorer sous la figure de ce coeur de chair». 
Le Coeur de Jésus est :  
embrasé d'amour pour les hommes    
offensé par leur ingratitude.
Cette double considération doit nous mouvoir :  
à rendre amour pour amour à l'amour du Coeur de Jésus et : 
à lui offrir une compensation pour l'offense qui lui est faite. (réparation - consoler le Coeur de Jésus)

Ce cœur est "une source intarissable", "une ardente fournaise".
"Je brûle du désir d'être aimé."
"J’ai soif, mais d’une soif si ardente d’être aimé des hommes au Saint-Sacrement, que cette soif me consume."
"Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu’il n’a rien épargné jusqu'à s’épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour. Et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart que des ingratitudes, par leurs irrévérences et leurs sacrilèges, et par les froideurs et les mépris qu’ils ont pour moi dans ce sacrement d’amour."
"Devant le Saint-Sacrement, je me sentais tellement appliquée, que jamais je ne m'y ennuyais. Et j'y aurais passé des jours et des nuits entières, sans boire ni manger et sans savoir ce que je faisais, sinon de me consumer en sa présence comme un cierge ardent pour lui rendre amour pour amour."
"Mon plus grand contentement est d'être devant le Saint-Sacrement où mon Cœur est comme dans son centre. Je lui dis : “Ô mon Jésus et mon Amour, prenez tout ce que j’ai et tout ce que je suis et me possédez selon l’étendue de votre bon plaisir, puisque tout ce que j’ai est à vous sans réserve. Transformez-moi tout en vous, afin que je n’aie plus de pouvoir de m’en séparer un seul moment et que je n’agisse plus que par les mouvements de votre pur amour !” . "
"Mon Coeur est si passionné d'amour et pour toi en particulier que, ne pouvant contenir les flammes de son amour, il faut qu'il les répande par tout moyen."
"Si tu le crois, tu verras la puissance de mon Cœur dans la magnificence de mon amour."
"Ne crains pas, ma fille. Je régnerai malgré mes ennemis et ceux qui souhaitent s’opposer à moi."
Lire la suite >>

samedi 7 avril 2012

Samedi saint


La journée du Samedi saint, dans le Triduum pascal, ne comporte pas d’office particulier : on y célèbre simplement la liturgie des Heures. Ce ne doit pas être seulement une journée consacrée aux préparatifs de la fête de Pâques, mais un jour privilégié de silence et de recueillement.
L'Église passe ce grand sabbat tout près de Marie, méditant sur les souffrances du Christ, sa mort et son ense­velissement, dans une espérance invincible. La contemplation ecclésiale s’arrête aussi au mystère de la descente du Christ aux enfers, qui est un article du Credo : séparée momen­tanément de son corps, l’âme de Jésus est allée « prêcher aux esprits en prison » (1 P 3, 19), c’est-à-dire qu’elle a voulu connaître la condition des âmes encore maintenues dans le séjour des morts, et surtout leur apporter la bonne nouvelle de leur délivrance, grâce au sacrifice du Calvaire et à sa prochaine Résurrection.
La kénose ou humiliation volontaire du Christ va jusque-là, dans les abîmes, pour que soit délivré quiconque accepte de l’être.
Dom Robert Le Gall
Lire la suite >>
LIVGI
 

http://www.pasto972.com - Le site de la pastorale des jeunes, de la pastorale des vocations et de l’aumônerie des lycées et du campus en Martinique Copyright ©
Publication : Diocèse Martinique | BeMagazine B. Template is Designed by B. Template in Collaboration with fifa | mentions légales